A l'occasion de la semaine de la QVCT (Qualité de vie et des conditions de travail), grand nombre d'actions de sensibilisation, de formations et de webinaires ont eu lieu partout en France.
Cette année, j'ai voulu apporter ma contribution à une autre échelle pour sensibiliser davantage de monde à la santé mentale au travail, l'un des aspects de la qualité de vie au travail et un sujet qui me tient particulièrement à coeur.
Et c'est ainsi que mardi 20 Juin, je réalisais mon premier webinaire avec Vanessa Letourneux, intervenante en bien-être en entreprise et sophrologue sur le thème "QVCT, santé mentale et emploi, si on en parlait ?".
Avec nos regards complémentaires, nous avons vu :
- ce qu'était la QVCT, et les 6 champs d'actions qui la composent
- la différence entre QVCT et bien-être au travail
- définis ce que sont les risques psychosociaux
- les coûts liés au stress, la dépression et aux arrêts de travail
- les différents facteurs qui dégradent notre santé mentale
- les symptômes d'une santé mentale qui se dégrade
- les leviers actionables pour préserver sa santé mentale à tous les niveaux (individuel, interindividuel, groupal, organisationnel et institutionnel)
- les acteurs vers qui se diriger pour remonter la pente...
C'est que ça bouge dans le secteur de l'insertion !
Il y a près d'un mois, l'association SEMES (Sèvre et Maine Emploi Solidarité) m'a demandé d'intervenir à l'occasion de leur Assemblée Générale vendredi dernier, pour sensibiliser les salariés, dirigeants, administrateurs et élus à la santé mentale au travail ; l'occasion de délivrer un message impactant qui a permis des prises de conscience et de trouver des pistes d'actions à plusieurs niveaux.
Les Assemblées générales sont d'excellentes occasions pour sensibiliser sur de tels sujets. C'est pourquoi, si vous souhaitez vous aussi que j'intervienne pour des actions de sensibilisation comme celle-ci, je serai ravie d'y contribuer.
Une cellule psychologique dans le cadre d'un licenciement collectif
Pour la première fois, on m'a sollicitée dans le cadre d'un licenciement collectif dans une grosse industrie, afin de réaliser des permanences de soutien psychologique pour les salariés concernés.
Les cellules psychologiques permettent de gérer les situations de crises telles que les licenciements, les restructurations, des conflits, les risques psychosociaux (situations de stress, violences, harcèlement) et lors de suicide en entreprise. Elles permettent d'exprimer ses émotions, gérer le stress, de faire le deuil d'une situation passée et de prévenir les risques psychosociaux.
Si vous sentez que le besoin se fait sentir dans votre organisation, ne tardez pas à faire appel à un.e psychologue pour mettre en place ce type de dispositif.